Too many types on the dance floor

décembre 21st, 2012

Decotype

octobre 30th, 2012

 

Gravure sur galet

août 29th, 2012

Cap Fréhel

août 27th, 2012

+3000 km

août 26th, 2012

fea­tu­ring JBL’s Cogito

En cours

août 3rd, 2012

Türschliesser

juillet 30th, 2012

Gravure sur grès

juillet 28th, 2012

Voici la concré­ti­sa­tion d’une idée que j’ai dû avoir hier il me semble, depuis que j’ai reçu des outils dédiés à la gra­vure lapi­daire: me tenir à la gra­vure d’un signe par jour (si pos­sible) ou en un verbe: m’entraîner.

J’aurais bien du mal à com­prendre com­ment et pour­quoi je me pas­sionne pour cer­taines choses, mais lorsque c’est le cas, je m’y consacre de la façon la plus assi­due que mon temps libre per­mette. Dans la gra­vure il y a évi­dem­ment la lettre mais il y a aussi la lumière, autre amour, et le fait que gra­ver est une acti­vité qui m’apaise et me rend médi­ta­tif. J’aime géné­ra­le­ment l’idée de maî­trise & de jus­tesse – ou disons plu­tôt que j’ai du mal à gérer l’imperfection –, et même s’il est illu­soire d’imaginer que quelques heures de gra­vure par-ci par-là abou­ti­ront à une maî­trise, je m’efforce néan­moins de m’approprier et de com­prendre cette pra­tique du mieux que je peux; c’est comme ça que j’ai com­mencé le des­sin de carac­tère, par exemple.

Fina­le­ment, ce tra­vail est autant pré­texte à appro­fon­dir une tech­nique qu’une ten­ta­tive de me per­sua­der que l’imperfection a le droit d’exister; tout un pro­gramme. Alors la règle est assez simple: un signe par jour, des­sin à main levée sur la pierre et sans modèle, gra­vure dans la fou­lée et igno­rer l’insatisfaction systématique.